« Retrouve la joie qui est en toi ! Car c’est avec elle que tu pourras nous aider. L’homme joyeux ne tue pas ! L’homme joyeux s’émerveille.
Nous sommes les créatures de Dieu et notre vibration modifie les fréquences de celui ou celle qui nous approche en conscience. Nous avons le pouvoir, la motivation et l’intention de ramener la vie dans votre cœur.
Nous sommes ce que la colombe est à votre ciel, ou la licorne à votre Terre. Nous aimons et diffusons l’amour en nous et tout autour de nous. (…) Dans l’imaginaire des enfants, nous incarnons la joie et la candeur.
Nous avons beaucoup de points communs avec eux, car nous savons que la vie est un cadeau et une source infinie d’expériences. Comme l’enfant, nous aimons jouer, explorer, danser et chanter.
Nous savons que quelque chose de plus grand que nous veille sur nous. Nous évoluons baignés dans l’amour de l’univers, du cosmos. De même que le jeune enfant, nous percevons les étoiles et les galaxies comme notre maison et savons, depuis la naissance de notre être incarné, que notre existence ne se limite pas à la Terre, mais que la Terre est une mère/mer universelle qui nous accueille afin que nous puissions vivre ensemble, en son sein, une expérience profondément riche et merveilleuse, grâce à la relation avec d’autres règnes et espèces, mais aussi à travers une multitude d’environnements différents. (…) »
Troupeau de vaches laitières
atteintes d’une infection des pieds (la maladie de Mortellaro)
« La guérison ne sera que temporaire si notre éleveur ne revoit pas tout son système d’élevage. Il faut réduire le cheptel pour commencer. (…) Nous sommes des êtres vivants.
Notre gardien peut enrayer la maladie en nous laissant dehors plus longtemps, car c’est le béton qui nous fait mal, alors que la boue nous guérit. Il faut importer une autre bactérie pour nous aider.
Un environnement trop aseptisé ne nous convient pas. (…) Nous (les troupeaux en général) avons la force et le pouvoir d’aller mieux ou de mourir, si nous le voulons.
Tout est une question de choix. Les hommes ne comprennent pas qu’en voulant tout contrôler, ils perdent le contrôle de notre vie et de la leur. Laissez faire la nature et réduisez la taille du troupeau et l’élevage pérennisera. »
Je vous invite à les écouter...
Andaluz
« L’humain doit d’abord prendre conscience de sa place dans le monde. Il n’est en rien différent des autres êtres vivants, il est invité à s’affranchir du postulat que sa conscience et son intelligence le différencient des autres espèces.
Qu’il regarde son reflet dans une flaque et qu’il plonge dans les profondeurs de son regard et de ses yeux, pour retrouver le chemin vers la porte de son âme. Il verra alors d’où il vient et qui il est, il verra ce qui le relie au vivant.
C’est en retrouvant ce sentiment d’unité, de reliance profonde avec l’univers et avec soi, que l’on cesse de juger et de condamner les autres, car finalement, dans les autres, on se reconnaît.
On arrête de se différencier, de se comparer. C’est là le début de l’amour, de la compassion, de l’ouverture à soi, à l’autre et au vivant. Il suffit de voir les humains au-delà de leur enveloppe, car l’apparence n’est qu’une illusion et la réalité se trouve dans le cœur. »
Rhinocéros
« Ressens ce battement sourd à l’intérieur de moi. Et ce tumulte de sensations au cœur de mon ventre. C’est la Terre que tu écoutes là, à travers moi. Je suis en résonance avec elle. Je te montre aussi l’image des éléphants, car nous avons en commun cette capacité à entendre battre le cœur de la Terre.
Notre présence sur cette planète est importante, au même titre que celle des baleines et d’autres gros mammifères. Nous avons un rôle bien particulier. Et si nous venions à disparaître, la Terre bouillonnerait davantage, laissant les volcans s’ouvrir et érupter. Nous maintenons la fréquence cardiaque de la Terre à un rythme régulier.
Nous sommes aussi reliés au chakra racine de la terre, assurant son maintien dans la matière. Nos corps lourds et solides agissent comme des onduleurs.
Je peux relier les gens qui s’intéressent à moi à leur sagesse intérieure. Les poser. Les disposer à s’écouter… je renforce l’ancrage, je pose et je rassure. Je n’ai pas peur de foncer, car je suis reliée à une force et une puissance supérieure… je suis une contemplative solitaire qui n’a pas d’autre prédateur que l’humain. Nous n’écoutons que notre instinct, et ne nous trompons jamais… Foule le sol avec prestance et assurance, fais une confiance aveugle en la vie, et ne va jamais chercher à l’extérieur les réponses… »